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ACTEURS, ACTRICES, RÉALISATEURS, COMPOSITEURS, SCÈNARISTES DU MONDE ET SOUVENIRS
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15 août 2018

RUSSELL MULCAHY

Russell Mulcahy

(1953). Il est né à Melbourne en Australie. Son premier métier, dans le cinéma, est monteur. Puis, venu en Angleterre, il réalise des clips vidéo pour Elton John, Duran-Duran,etc. avant de se lancer dans les longs-métrages en 1979 avec : Derek and Clive get the horn, une comédie, puis il réalise : Rozorback en 1984, une curieuse histoire de sanglier tueur, Highlander avec Christophe Lambert et Sean Connery en 1986 est son film le plus célèbre, il a connu un gros succès en France, mais pas aux USA, c’est sa sortie en vidéo qui lui a conféré le statut de film culte avec de nombreuses suites ciné et TV et des jeux vidéo, il tourne ensuite : Highlander le retour en 1991, qui est bien inférieur au premier opus, puis Ricochet avec Denzel Washington un polar glauque, Blue ice avec Michael Caine, un film d’espionnage, L’affaire Karen McCoy avec Kim Bassinger et Val Kilmer, un bon polar, The shadow avec Alec Baldwyn est une adaptation du comics US, suivront plusieurs film d’horreur comme : La malédiction de la momie, Resurection, Resident evil, Fais leur vivre l’enfer Malone, un polar violent sera son dernier film en 2009. Il avait été retenu pour diriger Rambo III, mais a été évincé au bout de quelques jours de tournage. En tenant compte de ses vidéos, il a tourné plus de 110 films et a travaillé pour la TV.

Sa notoriété est surtout due à ses clips et films vidéo.

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14 août 2018

CHRISTIAN CARION

Christian Carion

 

(1963). Il est né à Cambrai. Ses parents sont de modestes agriculteurs. Il fait des études en ce sens en intégrant une école d’ingénieur, mais il a le virus du cinéma et s’essaye avec une camera qu’il loue, son travail sera remarqué par un producteur qui lui permet de tourner un court-métrage en 1999 auquel ce producteur participe comme acteur. En 2001, il se lance dans la réalisation de son premier long-métrage : Une hirondelle a fait le printemps avec Serrault et Mathilde Seigner qui raconte le retour à la terre d’une informaticienne lasse de la vie parisienne, ce sera un très beau succès public avec plus de 2.400.000 entrées, il tourne ensuite : Joyeux Noël une très émouvante histoire vraie de fraternisation, le soir de Noël entre les belligérants de la première guerre mondiale, L’affaire Farewell avec Emir Kusturica et Guillaume Canet, une excellente histoire d’espionnage, En mai fait ce qu’il te plait l’histoire de l’exode des gens du Nord en 1940, Mon garçon en 2017 avec Guillaume Canet et Mélanie Laurent, un film sur un enlèvement d’enfant, ce film est curieusement mené car les acteurs n’ont pas toujours de dialogues écrits et doivent improviser et ils n’ont pas de scénario, le film a été tourné en 6 jours en temps réel !

13 août 2018

CLAUDE BENARD-AUBERT

 

Claude Bernard-Aubert

 

 

(1930-2018). Il est né dans le Maine et loir. Il débute sa vie professionnelle comme reporter de guerre en Indochine de 1949 à 1954. Son premier film en 1957 utilise son vécu du conflit, ce sera : Patrouille de choc. Suivra : Les tripes au soleil en1959 une histoire d’amour entre un blanc et une noire, avec ces 2 films, il a eu de gros ennui avec la censure, film jugé trop réaliste pour le premier et trop provocateur pour le deuxième qui devra attendre deux ans pour pouvoir sortir en salles. On lui doit encore : Match contre la mort avec Gérard Blain et Pierre Bellemare, un thriller à suspens, Les lâches vivent d’espoir sur le même thème du racisme, Le facteur s’en va-t-en guerre avec Aznavour, Jess Hahn et Galabru, un facteur s’engage en Indochine pendant la guerre, L’ardoise avec Adamo, Michel Constantin et Jess Hahn, une histoire de vengeance, L’affaire Dominici avec Gabin et Depardieu, Adieu-je t’aime en 1988 est son dernier film avec Bruno Cremer, Marie Christine Barrault et Bruno Pradal, une histoire de ménage à trois. Il avait débuté un film : La jonque chinoise avec Lino Ventura, mais il ne sera jamais terminé.

Mais il a eu une carrière parallèle dans le porno bas de gamme avec plus de trente réalisations de 1976 à 1984, mais pas sous son vrai nom, il a utilisé le pseudo de : Burd Tranbaree !!!!

Il n’a pas laissé une trace indélébile dans le cinéma en dehors de l’affaire Dominici.

13 juillet 2018

JACQUES ROZIER

 

Jacques Rozier

 

(1926). Il est né à Paris. Il est passé par l’IDHEC avant de devenir assistant réalisateur à la TV. Il réalise en parallèle des courts-métrages d’un ton inédit qui annonce la nouvelle vague (Surtout : Rentrée des classes et Blue-jeans). Il en réalisera tout au long de sa carrière de 1947 à 2008. Son premier long-métrage sera : Adieu Philippine en 1962 : Les derniers jours de liberté d’un homme qui est mobilisé pour aller en Algérie, l’histoire de ce film est rocambolesque : tourné avec des acteurs de la rue  dans les montagnes corse inaccessibles aux véhicules, la bande son est perdue, elle sera reconstituée en lisant sur les lèvres des acteurs ! Le producteur se retire, Rozier en rachète les droits pour le monter et le présenter à Cannes en 1962 où il est primé dans la semaine de la critique. Il aura beaucoup de mal à tourner à nouveau et travaille, en attendant, pour la TV et réalise un documentaire : Cinéastes de notre temps. Il tourne enfin : Du coté d’Orouët avec Bernard Menez en 1973, une gentille comédie autour d’un garçon timide en vacances, ce film n’aura aucun succès public, Suivront : les naufragés de l’île de la Tortue avec Pierre Richard, Maurice Risch et Jacques Villeret, des « Pieds Nickelés », organisent des voyages sur une île déserte, Maine océan avec Bernard Menez, Yves Afonso et Luis Rego, la rencontre, dans un train, d’hommes et de femmes de nationalités et de langues différentes, Ce film aura le prix Jean Vigo en 1986, Fifi Martingale en 2001 avec Jean Lefévre qui joue un auteur de boulevard récompensé par un « Moliére » inattendu, ce film ne sortira pas en salles. Son dernier projet : Le perroquet parisien est actuellement en panne depuis 2007 à cause de problèmes de production. Ses tournages sont particuliers, scénarios non achevés, pas de direction d’acteurs, pas de respect de temps de tournages, pas de « Coupez » à la fin d’une prise, les acteurs continuent d’improviser. Tous ces faits lui ont construit une image de dilettante.

16 juin 2018

JEAN EPSTEIN

Jean Epstein

(1897-1953). Il est né à Varsovie. Il fait des études de médecine, mais il est passionné de littérature et de cinéma. Il publie son premier ouvrage de poésie en 1921 il devient aussi critique de cinéma et publie des ouvrages théoriques sur le sujet et qui attirent l’attention de Louis Delluc qui l’engage comme assistant. Il réalise son premier film en 1922 : Pasteur à l’occasion du centenaire de la naissance du savant. Ce film est un succès et il lui permet de continuer à tourner. Il a plus de 40 films à son actif et une vingtaine de scénarios. Il fonde sa propre société de production, cela le fera sombrer dans les difficultés financières, il fait alors retraite en Bretagne, cela le conduira à tourner plusieurs films sur les gens de cette région, dont un film entièrement parlé en langue bretonne : Chanson d’Ar-Mor. Pendant la guerre, il se réfugie en zone libre. Après guerre, il ne tournera que deux films, très beaux, mais boudés du public : Le tempestaire en 1947 et Les feux de la mer en 1948 qui sera son dernier film. Parmi ses nombreuses réalisations on peut citer : L’auberge rouge, Les aventure de Robert Maucaire, Mauprat, La chute de la maison Usher. L’homme à l’hispano, La châtelaine du Liban, Marius et Olive à Paris, Cœur de gueux, La femme du bout du monde. Ses films sont toujours de très grande qualité, mais ils n’ont pas eu le succès public souhaité.

Il a aussi été romancier, philosophe et enseignant à l’IDHEC.

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13 juin 2018

GEORGE SIDNEY

George Sidney

(1911-2002). Il est né à Long Island dans l’état de New York. Son père est directeur de la MGM et sa mère est actrice ainsi que son oncle. Il débute comme musicien dans les Vaudeville avant d’entrer à la MGM comme coursier, il gravit ensuite tous les échelons pour devenir réalisateur en second. Il réalise ensuite de très nombreux courts-métrages dont deux seront « Oscarisés » en 1940 et 1941, ce qui lui permet de réaliser son premier long métrage : Gratuit et facile en 1941. Il en tournera une trentaine, il est « LE » spécialiste des films musicaux d’Hollywood, il sera le premier à mélanger acteur et personnages de dessins animés comme avec Gene Kelly et Jerry (de Tom et Jerry), il a aussi réalisé de très bons films comme : Les trois mousquetaires avec Gene Kelly et Scaramouche avec Stewart Granger. On lui doit en particulier : Pilote N°5 avec Gene Kelly, La parade aux étoiles avec Gene Kelly, Escale à Hollywood avec Gene Kelly et Frank Sinatra, Les demoiselles Harvey avec Judy Garland, Annie la reine du cirque avec Betty Hutton, Show Boat avec Ava Gardner, Embrasse-moi chérie Avec Kathryn Grayson, La blonde ou la rousse avec Frank Sinatra, Rita Hayworth et Kim Novak, Pépé avec Cantiflas et Maurice Chevalier (De passage), Bye bye Birdie avec Janet Leigh, L’amour en quatrième vitesse avec Elvis Presley et Ann-Margret, Half a sixpence en 1967 est son dernier film. Il se consacre ensuite totalement à la photographie et certaines de ses photos sont exposées au MOMA.

11 juin 2018

HENRY KING

 

Henry King

 

(1886-1982). Il est né en Virginie. Son père est avocat, son grand-père était sous le commandement du général sudiste Lee pendant la guerre de sécession. Sa première vocation est le théâtre où il jouera dans des vaudevilles, puis il devient acteur au cinéma, on peut le voir dans prés de 120 films ! Il tourne son premier film en 1915 : Who pays, un drame en 12 épisodes sortis entre mars et juillet 2015. On lui doit prés de 120 films courts et longs-métrages, il a été un des plus grands réalisateurs d’Hollywood selon Bertrand Tavernier, il a été en contrat pendant une trentaine d’année avec la 20th Century Fox, il était réputé pour ses nombreuses adaptations littéraires. Il est l’un des 36 fondateurs de l’Academy of Motion Pictures Arts and Science qui délivre les « Oscars » d’Hollywood. Parmi son immense production, qui a débuté au temps du muet, on peut citer : L’incendie de Chicago, La folle parade, Le brigand bien aimé, Le cygne noir, Le chant de Bernadette en 1943 qui raconte l’histoire de la petite Bernadette de Lourdes et qui a valu à son interprète : Jennifer Jones (ex : Phyllis Isley) l’ « Oscar » de la meilleure actrice, Capitaine de Castille, Un homme de fer, La cible humaine, Les neiges du Kilimandjaro, La colline de l’adieu, Le soleil se lève aussi, Les bravados avec Gregory Peck (magnifique) est un western atypique avec un homme qui voulant exercer sa vengeance se trompe de cibles, tourné pendant le McCartysme, c’est un plaidoyer contre l’intolérance (On y retrouve dans des rôles importants Lee Van Cleef et Henry Silva en indien), Le vieil homme et la mer, Un matin comme les autres, Cette terre qui est la mienne, Tendre est la nuit est son dernier film en 1962.

Issu d’une famille protestante, il s’est convertit au catholicisme un peu avant de tourner : Le chant de Bernadette.

3 juin 2018

RICHARD FLEISCHER

 

Richard Fleisher

 

 

(1916-2006). Il est né à Brooklyn. Son père, Max Fleischer, est un génie de l’animation il produit Popeye et Betty Boop. Le jeune Richard veut devenir Psychiatre et commence des études de médecine, il abandonne et veut devenir acteur et suit les cours de Yale.  RKO l’emploie comme monteur, puis il devient réalisateur de courts-métrages. Il réalise son premier long-métrage en 1946 : Child of divorce. Il a touché à tous les genres du cinéma : Polar, comédie, film historique, film de procès, film d’action, film d’anticipation, à ce titre il est inclassable, mais ses réalisations sont toujours d’un qualité extrême. Il a réalisé une cinquantaine de films dont : L’énigme du Chicago express un formidable polar avec unité de lieu, un train en marche dans lequel voyage un témoin clef que des truands veulent supprimer avec Charles McGraw, Marie Windsor et Jacqueline White, 20.000 lieues sous les mers avec Kirk Douglas et James Mason, Les inconnus dans la ville avec Victor mature, des gens sans liens entre-eux se retrouvent dans une banque qui se fait braquer, Les vikings avec Kirk Douglas et Tony Curtis, Le génie du mal, un formidable film policier suivi d’un procès à propos d’une histoire vraie, avec Orson Welles, deux horribles assassins sont défendus par un avocat célèbre (Orson Welles) hostile à la peine de mort, dont la plaidoirie est extraordinairement émouvante et captivante et reprend les termes de l’avocat de l’époque (Le film de Hitchcock : La corde, raconte le même faits divers qui a eu lieu à Chicago en 1924), Barabas avec Anthony Quinn, un drame biblique, L’extravagant docteur Doolittle, une comédie musicale avec Rex Harrison, L’étrangleur de Boston avec Henry Fonda, Tony Curtis et George Kennedy, Tora !Tora !Tora ! un film de guerre sur l’attaque de Pearl Harbour, Les flics ne dorment pas la nuit, un polar très noir avec George C. Scott, Soleil vert, un épouvantable film de science fiction avec Charlton Heston (Grand prix au festival d’Avoriaz en 1974), Mister Majestyk, un film d’action avec Charles Bronson, Conan le destructeur avec Schwarzenegger, Million dollar mystery est son dernier film en 1987, une comédie teintée de mystère, un homme a une crise cardiaque dans un restaurant et avoue, avant de mourir, aux autres clients avoir volé et caché de l’argent dans plusieurs endroits.

Il a ensuite tourné des documentaires jusqu’en 2005.

Il a aussi été un homme de théâtre en créant une troupe puis en mettant en scène des pièces.

1 juin 2018

HIROKAZU KORE-EDA

 

Kore Eda

 

(1962). Il est né à Tokyo. Son premier désir était de devenir écrivain, après ses études universitaires, en 1987,  il opte pour la TV en devenant assistant réalisateur. Il réalise son premier film en 1995 : Maborosi un drame familial mâtiné de fantastique. Son style mêle le documentaire et la fiction avec beaucoup de finesse. Il a eu 6 de ses films sélectionnés pour le festival de Cannes en 2001,2004, 2009, 2013 avec : Tel père Tel fils qui aura le prix du jury et le prix du jury oecuménique : L’histoire d’un échange de bébés dans une maternité, 2015 et enfin 2018 où il a remporté la palme d’or avec : Une affaire de famille, l’histoire de pauvres gens, vivant de rapines, qui recueillent une petite fille trouvée dans la rue et que ses parents maltraitent, cela se passe bien jusqu’à ce qu’un incident séme le trouble. Son œuvre traite de la famille, la mort, la filiation, avec humanisme et retenue. Il est aussi admiré pour sa direction d’acteurs.

26 mai 2018

SIDNEY LUMET

Sidney Lumet

(1924-2011). Il est né à Philadelphie. Son père est un acteur de théâtre et sa mère est danseuse dans un théâtre yiddish. Il débute sur les planches à quatre ans. En 1941 il s’engage volontairement et fait la guerre en Extrême-Orient comme opérateur radar. Témoin de la crise de 1929 et de ses conséquences, il en sera marqué et cela se retrouvera dans certains de ses films. On lui doit plus de 70 réalisations dont une quarantaine pour le cinéma. Après des études de théâtre, il crée une troupe qui comporte Yul Brynner et Eli Wallach car il n’est pas satisfait de la méthode Strasberg de l’Actor Studio, puis il débute à la TV en tournant des séries dés 1952 et jusqu’en 1956 Au total il fera plus de 250 réalisations pour la TV), avant de tourner son premier film en 1957, ce sera un chef d’œuvre absolu et immortel : 12 hommes en colère avec un Henry Fonda fabuleux et 11 autres acteurs de très grand talent (Lee J. Cob, Martin Balsam, Jack Warden…), au cours des délibération d’un jury, un seul homme s’oppose à la condamnation du prévenu et il tente de rallier à son opinion les autres jurés, ce film aura l’Ours d’or à Berlin en 1957. Ensuite il tournera encore beaucoup pour la TV, ce n’est qu’à partir de 1962 qu’il ne travaillera plus que pour le cinéma à 2 exceptions prés. Sa filmographie comporte un grand nombre de TRÈS grands films et cela permettra à de  nombreux acteurs d’être récompensés pour leur prestation : Ingrid Bergman, Peter Finch, Faye Duneway, Beatrice Straight. De son abondante filmographie on peut retenir : L’homme à la peau de serpent avec Marlon Brando, la vie d’un guitariste itinérant, Point limite avec Henry Fonda, un terrible thriller sur fond d’attaque nucléaire USA/URSS, La colline des hommes perdus avec Sean Connery encore un chef-d’œuvre qui se passe dans un camp disciplinaire militaire, Serpico avec Al Paccino sur la corruption dans la police, Un après-midi de chien avec Al Paccino encore un excellent film sur un hold-up raté et médiatisé, Network, une critique impitoyable de la TV avec Faye Duneway et William Holden, Le verdict avec Paul Newman, un film de procès avec un avocat alcoolique en recherche de rédemption, Family Business avec Sean Connery et Dustin Hoffman, une famille de braqueur organise un hold-up dans une résidence huppée, Dans l’ombre de Manhattan un excellent polar avec Andy Garcia, Jugez-moi coupable, un très bon film de procès (le plus long, jamais vu aux USA) avec un Vin Diesel, pour une fois, pas dans un rôle de « gros bras », une partie des dialogues est issue du vrai procès, 7h58 ce samedi là est son dernier film en 2007 avec Philip Seymour Hoffman, l’histoire d’un cambriolage familial.

Il avait la réputation de ne jamais dépasser ses budgets et de terminer ses films avant la date prévue.

Il a été membre du jury à Cannes en 1982.

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  • Petite biographie d'acteurs, actrices, réalisateurs, compositeurs et scénaristes du monde sans privilégier l'époque ni la notoriété. Citations de films. Un peu d'humour. Un peu de Bandes dessinées. Premier message le 27/09/2011 (Seance de cinéma autrefois)
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