ON POURRAIT LES CONFONDRE (8)
ON POURRAIT LES CONFONDRE (7)
GRANDES MUSIQUES DE FILMS
Il y a eu de très nombreuses compositions originales pour le cinéma, mais les réalisateurs ont aussi utilisé des morceaux existants surtout dans le domaine classique.
On peut citer :Ainsi parlait Zarathoustra dans : 2001 L’Odyssée de l’espace, Symphonie N°3 de Brahms dans : Aimez vous Brahms, La chevauchée des Walkyries dans : Apocalypse now, Le vol du bourdon dans : Casino, Valse N° de Chostakovitch dans Eyes wide shut, Casse noisette dans : Huit et demi, La damnation de Faust dans : La grande vadrouille, Lohengrin dans : Le dictateur, Adagio pour cordes de Barber dans : Le fabuleux destin d’Amélie Poulain, Suite pour orchestre N° de Bach dans :L’espion qui m’aimait, Les saisons de Tchaïkovski dans : L’ours, Symphonie N°5 dans Mort à Venise, Petite musique de nuit dans : Nikita, Ouverture de Guillaume Tell dans : Orange mécanique, Le beau Danube bleu dans : Titanic, Requiem en do mineur dans : Twin peaks, Carmina Burana dans : Excalibur, Turandot dans : La déchirure, Paillasse dans : Les incorruptibles, Les contes d’Hoffmann dans : La vie est belle, Norma dans : Sur la route de Madison, Moment musical N°2 de Schubert dans : Au revoir les enfants, Concerto pour cor N° 2 de Mozart dans : JFK, Nocturne en do dièse mineur de Chopin dans : Le pianiste, Variations Goldberg dans : Le silence des agneaux, Concerto pour orgue N° 13 de Haendel dans Les liaisons dangereuses, Clair de lune de Debussy dans Ocean’s eleven, Concerto pour clarinette de Mozart dans : Out of Africa, Concerto pour clavecin N°5 de Bach dans Hannah et ses sœurs, Sarabande de Haendel dans Barry Lindon, Sonate pour violon de Ravel dans :Un cœur en hiver
UN ROMAN MAINTES FOIS PORTE A L’ECRAN : LES MISERABLES
Ce roman a aussi donné lieu à de nombreux remakes. On peut citer : En France, la première date de 1911, elle est de Albert Capellani avec Henry Kraus, la seconde est de Henri Frescourt avec Gabriel Gabrio (Tous deux sont des films muets), il y a aussi celle de André Lang de 1933 avec Harry Baur, celle de Richard Boleslawski de 1935 avec Frederic March, celle de Lewis Milestone de 1952 avec Michael Rennie, celle de Jean Paul Le Chanois de 1957 avec Jean Gabin, celle de Robert Hossein de 1982 avec Lino Ventura, celle de Claude Lelouch de 1995 avec Jean Paul Belmondo, celle de Bille August en 1998 avec Liam Neeson (La liste de Schindler).
Il y a aussi des versions en Italie (1946 de Riccardo Freda avec Gino servi), en Egypte, en Russie, au Mexique, au Japon et en Inde
LES ANIMAUX AU CINEMA
Ils sont très présent dans le septiéme art, parfois vedettes, parfois en second ou troisiéme rôle et parfois au cœur de documentaires. Ils sont aussi les vedettes d’innombrables dessins animés (101 Dalmatiens, Bambi, Bugs Bunny, Titi et Grosminet, Les trois petits cochons, et tant d’autres !)
LES ANIMAUX VEDETTES :
La plus célèbre de tous est sans conteste CHEETA la guenon de Tarzan, elle est toujours en vie à 80 ans et elle coule des jours paisibles dans une maison de retraite pour singes où elle regarde la télé (véridique), il y a aussi RINTINTIN le chien de Rusty qui a fait les beaux jours de la TV et qui a paru en comics, il y a également LASSIE « chien fidèle », le Collet qui a ému des millions de téléspectateurs. On peut aussi y ajouter le petit chien d’Alexandre le bienheureux (KALY, nommé « Le chien » dans le film) qui fait les courses pour son maître qui reste couché. On n’oublie pas non plus MARGUERITE la vache de Fernandel dans la vache et le prisonnier, le merveilleux film d’Henri Verneuil, LES OISEAUX du terrifiant film d’Alfred Hitchcock, on peut ajouter le chien de « Croc blanc » et celui de « L’appel de la forêt », les requins des « Dents de la mer », L’ombre et la proie avec Michael Douglas et Val Kilmer raconte l’histoire de deux lions mangeurs d’hommes. Plus prés de nous il y a les ours de Jean Jaques Annaud dans « L’ours » et les tigres KOUMAL et SANGHA, du même, dans le film « Deux frères ». Dans « Congo », il y a une charmante petite gorille à qui on a appris à parler grâce à un appareillage électronique. Peut-être peut-on ajouter KING KONG le terrible et merveilleux gorille de la dernière version de ce chef d’œuvre, et LA BETE du film « La belle et la bête » ainsi que les SINGES de « La planète des singes »
LES ANIMAUX SECONDS ROLES.
Ils ne sont pas les vedettes principales du film, mais leur présence est indispensable comme les animaux sauvages dans HATARI, le petit singe contaminé par le virus Ebolah dans ALERTE, le troupeau de vaches du western ALVAREZ KELLY, sans oublier tous ces magnifiques chevaux de western et les fiers bisons rescapés du massacre de bouchers comme Buffalo Bill et consorts, les pigeons voyageurs de GHOST DOG, le chien de John Wayne dans HONDO, les serpents de DUEL, le coq Bleu , blanc ,rouge de Jean Lefevre dans ALLEZ FRANCE , dans l’ARME FATALE , Mel Gibson à un fidèle compagnon chien. Laurel et Hardy ont une mule dans LAUREL ET HARDY AU FAR WEST. Dans LAME DE FOND, les dauphins accompagnent le voilier de Jeff Bridges.
LES FILMS ANIMALIERS :
Il y a dans ce domaine de très belles réussite :LES ANIMAUX de Frédéric Rossif(1963), LE TERRITOIRE DES AUTRES (1971) de François Bel et Michel Fano, LA GRIFFE ET LA DENT de François Bel et Gérard Vienne (1976), LA FETE SAUVAGE de Frédéric Rossif (1976), SAUVAGE ET BEAU de Frédéric Rossif (1984), LE PEUPLE SINGE de Gérard vienne (1989), MICROCOSMOS de Claude Nuridsany et Marie Perennou (1996), LE PEUPLE MIGRATEUR de Jacques Perrin, Michel Debats et Jacques Cluzaud (2001) LA MARCHE DE L’EMPEREUR de Luc Jaquet (2005). On peut ajouter à cela les documentaires animaliers du studio Disney.