PAR UN BEAU MATIN D’ETE
On allait chez l’oncle Antoine chaque fois que notre pauv’dabe se tapait une cure. Fresnes, Poissy….J’crois que les villes d’eaux, il les a toutes faites. D’après ce que j’ai su, c’était pourtant un crack. Mais sourdingue. Y se faisait toujours piquer sur le tas, le nez dans le coffre-fort. Il entendait pas venir les mecs.
Y’a des gens qui sont taulards de père en fils, comme y en a qui sont pharmaciens.