(1916-1995). Il est né  en Géorgie à Columbus. Il a débuté comme acteur en 1927 et a tourné prés de 40 films jusqu’en1938. En 1938/39, il sera assistant réalisateur, puis, il devient ensuite monteur de 1942 à 1951 avant de devenir réalisateur en 1951 avec L’implacable ennemie avec Dick Powels et Rhonda Fleming, il réalisera une vingtaine de films pour le cinéma dont : La madone du désir avec Yvonne de Carlo et Joel MacRea, La flamme pourpre avec Gregory Peck, L’enfer des tropiques avec Rita Hayworth, Robert Mitchum et Jack Lemmon, L’aventurier du Rio Grande avec Robert Mitchum, A la française avec Jean Seberg, Un partie de Casino Royale, la première version parodique d’un James Bond avec Peter Sellers, Woody Allen, Ursula Andress (Et son amant de l’époque : Belmondo), Orson Welles, Libre comme le vent avec Robert Taylor qui semble être son meilleur film pour le public, Le bobo avec Peter Sellers et Britt Ekland, Marseille contrat avec Anthony Quinn, Michael Caine et James Mason sera son dernier film en 1983. Il terminera sa carrière en tournant un documentaire avec Bertrand Tavernier en 1983 : Pays d’octobre.

Une curieuse affaire émeut, le corps médical. Les acteurs de ce drame sont un jeune médecin, un nommé O’Patte et une jeune fille originaire de Kuala  Lumpur en Malaisie. Ce jeune médecin fraîchement sorti par -10°C de la faculté de médecine, faisait un remplacement pour le compte d’un docteur du XV° en vacances dans le XVI°. Un soir, il reçoit un coup de fil urgent, au bout du téléphone, une jeune femme à l’accent étranger lui demande de prendre sa lampe et de venir à son chevet pour cause d’accident cardiaque. Le jeune médecin prend sa trousse et part à l’adresse indiquée, il y trouve une superbe jeune fille qu’il reconnaît tout de suite comme étant une de ses condisciples de la fac, et dont le cœur bat la chamade en revoyant son ami. Ils ont ensuite disparu et on pense que le jeune médecin a succombé à une Malaise cardiaque.

Casting prévisionnel :

Le médecin : Matt Damon

La jeune femme : Michéle Yeho

Le vieux médecin : Jean Reno

Le pére de la jeune femme : Niels Arestrup

(1947). Elle est née à Nice. Elle a débuté dans des feuilletons TV en 1966. Elle tourne son premier film en 1967, puis on la revoit dans: Te casse pas la tête Jerry avec Jerry Lewis, Un dimanche comme les autres, Une saison en enfer, Trois milliards sans ascenseur, une excellente petite comédie de Roger Pigault avec Michel Bouquet (en électronicien !)Reggiani, Bozzuffi, Fresson, Amidou, Danny Carrel et Françoise Rosay (La mère autoritaire de Bouquet), dans ce film elle est la compagne strip-teaseuse de Bozzuffi, La nuit américaine de Truffaut, Le train de Frankenheimer avec Burt Lancaster, Stavisky de Resnais en 1974 est son dernier film. Ensuite elle se marie avec le prince italien Paolo di Borghèse, quitte le milieu du cinéma et devient artiste aquafortiste, elle sera honorée par le prix Fiorino D’Oro en 1995. Elle est aussi très impliquée dans l’humanitaire.

(1934). Il est né en Algérie. Il fait des études en France, mais rejoint le GPRA à Tunis en 1958, lors de la guerre d’Algérie, il ira ensuite suivre des cours de cinéma à Prague et deviendra réalisateur. Après un documentaire réalisé en 1964, il tourne : Le vent des Aurès qui aura le Prix de la Première œuvre en 1967. En 1968, il réalise : Hassan Terro une comédie sur la guerre d’Algérie, en 1973 : Décembre avec Michel Auclair et Julien Guiomar qui parle de la torture pendant la guerre, en 1975 : Chronique des années de braises qui raconte la genèse de la guerre et qui aura la Palme d’or à Cannes en 1975, en 1986 : La dernière image, l’histoire d’une jeune institutrice française en Algérie avec Véronique Jannot et Jean Bouise, en 2014 : Le crépuscule des ombres, son dernier film qui traite toujours de la guerre d’Algérie. Il est le scénariste de presque tous ses films et a été acteur dans deux d’entre-eux : Chronique des années de braise et La dernière image. Tout son cinéma est exclusivement centré sur la guerre d’Algérie.

ANTONIA BIRD (1951-2013). Elle est née à Londres, ses parents sont des gens de théâtre. Après des essais infructueux pour cet art, elle devient réalisatrice pour la TV. Au cinéma, elle a peu tourné, mais ses films sont de qualité : Priest, la vie d’un prêtre en 1994, De l’amour à la folie, une histoire d’amour contrarié, Face un polar sec et nerveux, Vorace, un film d’horreur en 1999 qui sera son dernier film. Elle a toujours fait appel à l’acteur (Excellent) Robert Carlyle.

BOAZ YAKIN (1966). Il est né à New York. Il est d’abord scénariste, son premier est pour : Punisher en 1989. Il devient réalisateur en1994 de : Fresh avec Samuel L. Jackson, un film sur l’enfer de la drogue. On lui doit aussi : Le plus beau des combats avec Denzel Washington sur la difficulté d’intégration des élèves noirs en Virginie, Safe avec Jason Staham, un film de gangster différent avec une jeune chinoise surdouée, Max, l’histoire d’un chien dont le maître, un soldat, est tué et L’internat, un film d’horreur.

Frank Richard Oznovicz (1944). Il est né en Grande Bretagne. Ses parents sont marionnettistes. En 1951 sa famille migre au Montana. Dans sa jeunesse il suit des cours pour exercer le même métier que ses parents. Il sera à la base du « Muppet show », il est très renommé pour ses talents dans ce domaine et sera utilisé par de nombreux réalisateurs. Il a une très longue filmographie avec plus de 140 films, vidéos ou séries (Les blues Brothers, le retour du jedi, Un fauteuil pour deux, Star wars (Yoda), etc.) et il est toujours en activité. Il est aussi réalisateur depuis 1982 avec : Dark Crystal, il récidive avec : Les muppets à Manhattan, puis : Le plus escroc des deux avec Michael Caine et Steve Martin, Quoi de neuf Bob, Fais comme chez toi avec Steve Martin et Goldie Hawn, L’indien dans le placard, un film onirique sur l’enfance, In & out avec Kevin Kline et Tom Selleck, une comédie gay, Bowfinguer une comédie avec Steve Martin et Eddy Murphy, The score avec De Niro et Edward Norton, un formidable film de braquage avec une séquence d’anthologie, Et l’homme créa la femme avec Nicole Kidman, Joyeuses funérailles, une comédie en 2007, est sa dernière réalisation

(1940-2019). Il est né à New York. C’est le fils d’Henry Fonda et le frère de Jane Fonda, sa fille Bridget est aussi actrice. Il est célèbre pour son rôle dans le film culte : Easy Rider. Après des études de théâtre, il débute comme acteur à la TV en 1962, il tourne son premier film en 1963 et ne cessera pas de tourner jusqu’à son décès (3 films sont à venir dans les mois qui viennent). On a pu le voir dans prés de 120 films ou séries TV dont : L’anglais, Ghost rider, 3H10 pour Yuma (le remake), Copperhead, L’or de la vie, Boundaries, son dernier film sorti en 2018. Il a aussi réalisé 3 films : L’homme sans frontières en 1971, Idaho transfert en 1973 et Wanda Nevada en 1979. Il est aussi le co-scénariste d’Easy Rider.

James Allen Mangold (1963). Il est né à New York ; Il débute comme scénariste dans une série TV consacrée à Disney en 1986. Il de vient réalisateur en 1995 avec : Heavy un film noir avec Pruit Taylor Vince et Shelley Winters, il réalise ensuite : Copland, un polar un peu mou avec Stallone, Harvey Keitel et De Niro, Une vie volée avec Angélina Jolie une histoire qui se passe dans un hôpital psychiatrique, Kate et Léopold une histoire de S.F ? Avec Meg Ryan et Hugh Jackman, Identity, un thriller horrifique avec John Cusak et Ray Liotta, Walk the line, un formidable film musical qui raconte la vie de Johnny Cash avec Joaquim Phoenix et Reese Whitherspoon, 3h10 pour Yuma, le remake (inutile car ni meilleur ni moins bon que l’original de Delmer Daves) avec Russell Crowe, Night and day, une parodie excellente des films d’aventures avec Tom Cruise et Cameron Diaz, Wolverine avec Hugh Jackman, Logan avec Hugh Jackman et doit sortir en 2019 : Le Mans 66 avec Matt Damon et Christian Bale, un film sur la rivalité Ford/Ferrari. Il est aussi producteur, scénariste de ses films et travaille pour la TV.

(1922-1975). Il est né à Bologne. Son père est lieutenant dans l’armée italienne (il sauvera la vie de Mussolini et son fils sera un communiste profondément anti-fasciste) et sa mère institutrice. Très jeune (dés l’âge de 7 ans) il s’intéresse à la littérature et écrit des poèmes, des nouvelles et des pièces de théâtre. Il était aussi peintre. Il a été membre du parti communiste italien de 1947 à 1949 avant d’en être exclu pour homosexualité. Il a fait des études de Lettres. Il sera un grand voyageur dans tous les pays du globe. Il débute comme réalisateur en 1961 avec : Accattone une histoire de prostitution, suivront : Mamma Roma, L’évangile selon Saint Matthieu, Des oiseaux petits et gros, Œdipe roi, Théorème, Orgia, Porcherie, Médée, Le  Décameron, Les contes de Canterbury, Les mille et une nuits, Salo ou les 120 journées de Sodome. Il est aussi scénariste de prés de 60 films ou documentaires. Son œuvre a provoqué de très nombreuses polémiques et peut-être aussi son assassinat. Les conditions de sa mort n’ont jamais été élucidées, un jeune prostitué mineur s’est d’abord accusé du crime et a été condamné à la prison, puis il s’est rétracté en parlant de menaces sur sa famille.

Il a été premier ministre de Giscard, on se souvient du « Barre 1, Barre 2, Barre toi » des syndicats ce documentaire fera la lumiére sur ses différentes actions  en courtes séquences:

-On dit que Barre plait : Barre botte.

-Dans les quartiers Arabes de Paris sa côte est en chute libre : Barre baisse.

-Chez lui, vous le trouverez au jardin : Barre y tond

-Au rugby il était champion des butteurs sous la pluie : Il fallait voir Barre botter dans l’eau.

-Toujours au rugby, aprés avoir vu les Néo-Zélandais,il a exigé d'avoir sa Barre-Haka.

-Ses « fans » l’aident à remonter dans les sondages : Merci aux zélés fans qui Barre hissent.

-Toutes les critiques l’énervent : Barre rage.

-Quand il fait des nominations c’est la pagaille : Quand Barre nomme c’est le cirque.

-Il a besoin de sa femme et il disait : Il faut que la Barre m’aide.

-Il met la pression sur les instituteurs : La pression du Barre aux maîtres monte.

-Il n’aime pas les viticulteurs Bordelais falots et bêtes : Quand il voit un Sauternes Barre sacque.

-En Russie on l’aime bien car il approuve tout : C’est le Barre da !

-S’il était né en Afrique au lieu de La Réunion, il se serait prénommé Amin : Barre Amin.

-Avec les nobles, il boit pour parler d’égal à égal : C’est alors un Barre rond.

-Quand il oublie ses clefs on lui dit : Tes clefs Barre.

-Seuls ceux qui le bien connaissent voient clair en Barre.

-Ses propos rassurants sont sans effets sur les syndicats qui disent : Il est beau Barre.

-A Saint Malo il est l’idole des gens Barre.

-Si tu fumes en sa présence : Barre t’abat.

-Personne n’arrivera au niveau que Barre atteint.

-Il avait caché son magot en Suisse, pour ses héritiers il y a de l’or en Barre.

Le commentaire "Off" sera fait par Jean-Marc Barr.