- Claude Gensac :C'est ce jeune homme que Colette doit épouser ? Il est pas mal !

- Louis De Funès : Et encore, tu n'as pas tout vu ! Déshabillez-vous !

- Mario David : Moi ?

- Louis De Funés : Naturellement, pas ma femme !

Votre vélo c’est de la série. J’parle même pas du montage qu’a dû être confié à des polonais ! J’dis pas ça pour critiquer les étrangers, attention ! Y’en a des forts, sur le cycle. T’nez les italiens et les suisses y sont p’t’être pas doués pour la guerre, mais y savent faire des vélos. Tandis que les polonais, bons soldats, j’dis pas, mais ça s’arrête là.

-Alors voilà, on dit que j'ai payé ma dette envers la société.

-Curieux... je n'ai jamais reçu de chèque...

A mon avis, dans la guerre, il y a une chose attractive : c’est le défilé de la victoire. L’emmerdant, c’est tout ce qui se passe avant. Il faudrait toucher sa prime d’engagement et défiler tout de suite. Avant que ça se gâte !....

Moi, pour un film, je pourrais quitter un type, mais pour un type, je ne pourrais jamais quitter un film !

- Si vous restiez en retrait?

- N'empêche, qu'à la retraite de Russie, c'est les mecs qu'étaient à la traîne qui se sont fait repasser.

On rencontre souvent son destin sur la route qu'on a prise pour l'éviter

C'est drôle comme les hommes qui ne veulent faire souffrir personne font finalement souffrir tout le monde.

Quand j’écoute trop de Wagner, ça me donne envie d’envahir la Pologne….

- Pendant douze ans on a fait chambre commune mais rêve à part...